Il n'y a pas plus glamour que Mimi et son frère Jack au lycée ultra chic Duchesne, à New York. Snobs et branchés, ils forment avec leurs amis un club très sélect. Theodora, qui est plus vintage que Prado, n'est pourtant pas insensible au charme du très sexy Jack. Pourquoi un garçon si populaire s'intéresse-t-il soudain à elle ? Quel rapport avec Aggie, une élève retrouvée morte, vidée de son sang ? Theodora est déterminée à le découvrir quand apparaît sur sa peau un entrelacs de veines bleutées qui lui glace le sang. Elle non plus n'est pas une fille tout à fait comme les autres...
J'ai vraiment adoré la saga de Stephenie Meyer mais je dois avouer que je restais perplexe devant tous ces livres bit-lit qui gravitaient autour de son succès. Après avoir lu une ou deux bonnes critiques sur la série de Melissa de la Cruz, j'ai décidé de tenter l'expérience avec le premier tome. J'ai bien fait! A peine le livre ouvert, j'ai eu du mal à le refermer. On se retrouve très rapidement happés par l'histoire de ces vampires en herbe de la haute société de Manhattan. Les personnages apparaissent d'abord caricaturaux pour ensuite s'affiner. La manière dont est tourné le récit et dont les portraits sont dressés par l'auteur donnent au lecteur l'envie de poursuivre (sans s'arrêter).
Theodora Van Alen est issue d'une grande famille new-yorkaise bien qu'elle n'en a pas du tout l'air. Elle ressemble plus à la marginale à laquelle on n'adresse pas la parole et qui appartient à un autre monde. Elle vit avec sa grand-mère, son père étant mort et sa mère se trouvant dans un coma profond.
Mimi Force est quant à elle l'archétype de la fille à qui tout sourit et à qui tout est servi sur un plateau. Elle vit une relation fusionnelle avec son frère jumeau Jack Force qu'elle ne conçoit partager avec personne d'autre. Oliver est le meilleur ami de Theodora depuis toujours. Ils vivent une relation très complice et on soupçonne Oliver d'en vouloir plus mais Theodora se sent attirée par Jack. Bliss, la nouvelle, prise sous la coupe de Mimi tombe amoureuse de Dylan, le rebelle que Mimi déteste... Et Aggie, faisant elle aussi partie du clan de Mimi mais dont on ne sait pas grand chose est retrouvée morte...
L'auteur ne parle pas tout de suite de vampires bien que le titre du livre soit des plus évocateurs (ce qui est par ailleurs dommage). On nous donne des indices, des mystères à résoudre, des phénomènes à décrypter... Le lecteur découvre en même temps que ces nouvelles recrues l'histoire qu'est la leur. Il y a pourtant des failles dans le récit que leur fait le Comité (la société des vampires) et Theodora (la véritable héroïne), d'abord sceptique (quoi, je suis un vampire? N'importe quoi...) doit accepter la réalité car très vite, elle devra faire face à la menace qui plane au-dessus du monde des sang-bleus auxquels elle appartient désormais...
Melissa de la Cruz maîtrise de manière inattendue son récit, je n'en attendais vraiment pas tant. L'intrigue est bien menée, autour de chapitres courts. On assimile petit à petit les informations qui nous sont données sans frôler l'indigestion. Bien plus, ce récit est prenant, captivant. J'ai aussi beaucoup apprécié l'originalité du monde vampirique créé par l'auteur. Ils sont appelés les sang-bleus, ont des ennemis : les sang d'argent, vivent par cycles, la transformation qui arrive à l'adolescence, les flashbacks... Tant de détails qui sont remarquablement mis en place. Il me faut le deuxième tome!
Theodora Van Alen est issue d'une grande famille new-yorkaise bien qu'elle n'en a pas du tout l'air. Elle ressemble plus à la marginale à laquelle on n'adresse pas la parole et qui appartient à un autre monde. Elle vit avec sa grand-mère, son père étant mort et sa mère se trouvant dans un coma profond.
Mimi Force est quant à elle l'archétype de la fille à qui tout sourit et à qui tout est servi sur un plateau. Elle vit une relation fusionnelle avec son frère jumeau Jack Force qu'elle ne conçoit partager avec personne d'autre. Oliver est le meilleur ami de Theodora depuis toujours. Ils vivent une relation très complice et on soupçonne Oliver d'en vouloir plus mais Theodora se sent attirée par Jack. Bliss, la nouvelle, prise sous la coupe de Mimi tombe amoureuse de Dylan, le rebelle que Mimi déteste... Et Aggie, faisant elle aussi partie du clan de Mimi mais dont on ne sait pas grand chose est retrouvée morte...
L'auteur ne parle pas tout de suite de vampires bien que le titre du livre soit des plus évocateurs (ce qui est par ailleurs dommage). On nous donne des indices, des mystères à résoudre, des phénomènes à décrypter... Le lecteur découvre en même temps que ces nouvelles recrues l'histoire qu'est la leur. Il y a pourtant des failles dans le récit que leur fait le Comité (la société des vampires) et Theodora (la véritable héroïne), d'abord sceptique (quoi, je suis un vampire? N'importe quoi...) doit accepter la réalité car très vite, elle devra faire face à la menace qui plane au-dessus du monde des sang-bleus auxquels elle appartient désormais...
Melissa de la Cruz maîtrise de manière inattendue son récit, je n'en attendais vraiment pas tant. L'intrigue est bien menée, autour de chapitres courts. On assimile petit à petit les informations qui nous sont données sans frôler l'indigestion. Bien plus, ce récit est prenant, captivant. J'ai aussi beaucoup apprécié l'originalité du monde vampirique créé par l'auteur. Ils sont appelés les sang-bleus, ont des ennemis : les sang d'argent, vivent par cycles, la transformation qui arrive à l'adolescence, les flashbacks... Tant de détails qui sont remarquablement mis en place. Il me faut le deuxième tome!
Melissa de la Cruz, Les vampires de Manhattan, Albin Michel Wiz, 341 pages, 2007
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